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Santé

L’Association pour la santé publique du Québec (ASPQ) se joint au MSSS dans sa demande au ministre de la Santé et des Services sociaux d’adopter une approche axée sur les données probantes pour évaluer les besoins en santé publique et définir les priorités des interventions dans des domaines spécifiques de la santé.

Selon l’ASPQ, ces mesures sont nécessaires afin de mieux cibler les actions de santé publique et de soutenir la coordination des interventions publiques dans des secteurs plus précis que celui de la santé mentale, de la violence conjugale et de la consommation de substances psychoactives en lien avec le tabac, l’alcool et les drogues.

Par ailleurs, l’ASPQ salue l’engagement du ministre de faire de la santé publique une priorité du Québec. Toutefois, elle déplore le manque de transparence dans la gestion des fonds et des ressources attribués au Ministère.

Plusieurs rapports de la Société canadienne de psychologie ont démontré que les services de santé mentale sont mal répartis au Québec et qu’une meilleure coordination des services aurait un impact significatif sur les clientèles en attente d’un traitement.

Médicaments contre la douleur : un accès à la carte

La Société des médecins de famille du Québec (SMFQ) et la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) se sont opposées aux changements aux lignes directrices pour l’accessibilité aux médicaments contre la douleur dans le cadre de la COVID-19 et ont demandé un moratoire.

Dans une lettre adressée au ministre de la Santé et des Services sociaux, la SMFQ et la FMOQ réaffirment leur opposition à ces changements, qui vont à l’encontre de plusieurs principes éthiques en santé publique, comme le respect de la confidentialité, du consentement éclairé, du consentement exprès et de l’autonomie décisionnelle.

La SMFQ et la FMOQ insistent sur le fait que les changements sont contraires à leur mandat et ne répondent pas aux besoins des patients.

En ce qui concerne les soins de la douleur, la SMFQ et la FMOQ ont souligné que les patients ont un droit fondamental à recevoir un traitement adéquat qui leur convient. Les personnes atteintes de douleur chronique et les fournisseurs de soins de santé ont besoin de renseignements de première ligne, y compris sur les options de traitement et les effets secondaires des médicaments en vente libre.

La SMFQ et la FMOQ ont demandé au ministre de revoir les modifications apportées aux lignes directrices en tenant compte des besoins des patients et des fournisseurs de soins de santé.

Risque accru pour la santé des femmes enceintes

Le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal (CIUSSS-ÎM) indique dans une lettre envoyée au ministre de la Santé et des Services sociaux qu’il ne peut modifier les recommandations du médecin pour prévenir le risque de transmettre la COVID-19 à une femme enceinte.

La SMFQ et le Regroupement des gynécologues du Québec (RGQ) appellent le ministre de la Santé et des Services sociaux à suivre les recommandations du Comité consultatif de santé publique (CCSP) et du CIUSSS-ÎM, afin d’assurer un niveau de protection optimal pour les femmes enceintes pendant la pandémie et éviter des décès et des séquelles à la naissance.

La SMFQ et le RGQ soulignent que les modifications proposées au cours de la pandémie vont à l’encontre de plusieurs principes éthiques en santé publique, notamment le respect de la confidentialité, du consentement éclairé, du consentement exprès et de l’autonomie décisionnelle.

L’Association québécoise d’organismes communautaires de santé (AAQ) recommande au ministre de la Santé et des Services sociaux de tenir compte du droit des femmes enceintes à l’accès aux services de santé publique.

Financement de la recherche sur le cannabis et le cannabis médical

La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) et le Collège des médecins du Québec (CMQ) sont opposées au projet de règlement du ministre de la Santé et des Services sociaux concernant la recherche sur le cannabis médical.

Les deux organisations soulignent que le projet de règlement ne tient pas compte de la pertinence scientifique de la recherche et ne tient pas compte des effets du cannabis, dont le potentiel de dépendance et les effets à long terme.

La FMOQ et le CMQ se sont également opposées à l’obligation de déclarer les données cliniques à Santé Canada concernant les produits à base de cannabis et la prescription de cannabis médical dans les ordonnances.

La FMOQ et le CMQ font valoir que cette obligation est inutile pour le moment, puisqu’un nombre insuffisant de données probantes sur le cannabis médical a été recueilli.

Enfin, la FMOQ et le CMQ font valoir que l’obligation de déclarer les données cliniques à Santé Canada pour les produits à base de cannabis et la prescription de cannabis médical, pourrait engendrer un fardeau administratif pour les médecins et les patients.

Poursuite de la campagne « Je n’ai pas besoin d’un passeport vaccinal »

La Fédération québécoise des coopératives en milieu scolaire (FQCMS) est déçue de la décision du gouvernement du Québec de mettre fin à la campagne « J’ai pas besoin d’un passeport vaccinal » et de ne pas prolonger la suspension des droits des étudiantes et des étudiants à la vaccination contre la COVID-19.

La FQCMS s’oppose aux mesures de restriction qui prévoient la suspension des droits de citoyenneté et de résidence des élèves et des étudiantes et étudiants qui refusent de se faire vacciner. Elle déplore la suspension des droits à la vaccination des élèves et des étudiants, en particulier ceux qui sont aux prises avec des problèmes de santé mentale et qui ont de la difficulté à accéder à des services de santé en raison de leurs problèmes de santé mentale ou des restrictions de leurs droits civils.

La FQCMS rappelle que les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale ont droit au respect de leur dignité, de leur intégrité physique et de leurs droits civils en vertu de la Charte des droits et libertés de la personne. Elle soutient que cette suspension des droits des élèves et des étudiants est une atteinte injustifiée aux droits humains de ces personnes et qu’elle est inutile pour contrôler le risque de propagation de la COVID-19.

La Fédération québécoise des coopératives en milieu scolaire (FQCMS) rappelle que le respect des droits fondamentaux et des libertés est un enjeu fondamental de l’éducation au Québec.

Elle demande au ministre de la Santé et des Services sociaux d’inclure dans ses prochaines décisions sur la pandémie, des mesures en ce sens.

Évaluation de la santé des enfants au Québec

La Société des services en français (SSF) demande au ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec (SSSS), d’approuver une nouvelle stratégie de développement des services en français en Ontario, pour le bien-être des enfants et des jeunes francophones au Canada.

La SSF demande au SSSS de collaborer avec les partenaires du système de santé ontarien pour concevoir une nouvelle stratégie visant à mieux répondre aux besoins des enfants et des jeunes francophones ontariens.

La SSF demande au ministre de s’assurer que les nouvelles initiatives du SSSS visent à améliorer l’accès aux services en français pour les enfants, les jeunes et les familles francophones et qu’elles soient déployées dans une perspective de la francophonie, de la culture et du bien-être des francophones.

Gestion de la vaccination des résidents en centres de soins de longue durée

La Société des obstétriciens et gynécologues du Québec (SOGC), la Société des médecins de famille du Québec (SMFQ), la Fédération québécoise des centres intégrés de santé et de services sociaux (FQCISSC) et l’Association des établissements de santé et de services sociaux du Québec (AESSSS), demandent au ministre de la Santé et des Services sociaux de mener une enquête sur la vaccination des résidents en centres de soins de longue durée (CSLD) en lien avec l’éclosion de la COVID-19 et la COVID-19.

La SMFQ, la SOGC, la FQCISSC et l’AESSSS demandent aussi au ministre de la Santé et des Services sociaux de mener une enquête sur les vaccins administrés en milieu de soins de longue durée en lien avec l’éclosion de la COVID-19 et la COVID-19.

La SMFQ, la SOGC, la FQCISSC et l’AESSSS recommandent également de procéder à une évaluation indépendante de la mise en œuvre et de l’efficacité du système de vaccination en milieu de soins de longue durée au Québec, afin d’identifier les lacunes et de trouver des moyens pour les combler.

Soutien aux aidants naturels

L’Association québécoise d’organismes de personnes handicapées physiques (AAQPH) appuie la stratégie de soutien aux aidants naturels du gouvernement du Québec.

L’Association québécoise d’organismes de personnes handicapées physiques (AAQPH) demande au ministre de la Santé et des Services sociaux d’adopter des mesures favorisant le bien-être psychologique des aidants naturels et des aidantes naturelles.

L’AAQPH souligne que le soutien financier aux aidants naturels est un élément essentiel pour la qualité de vie des personnes handicapées.

Sa femme lui avait dit que sa fille avait été violée pendant que le mari était parti. En raison de la forte odeur de la drogue, il était impossible de voir le père et le fils. Les policiers avaient déjà effectué une enquête préliminaire et des tests d'urine.

Le mari a été arrêté et les drogues saisies par les policiers et les enquêteurs. Le mari a reconnu qu'il avait pris une grande quantité de drogues et de méthamphétamine.

Les tests ont confirmé que les drogues étaient illégales et que les drogues étaient en vente libre.

Il y a un nouveau projet de loi qui vise à légaliser les drogues illégales en Russie. Il devrait être discuté lors d'une réunion entre les présidents russe et kazakh à Almaty le 19 juillet. La date exacte n'est pas encore annoncée.

Le Kazakhstan a de bonnes relations avec la Russie depuis des décennies.

Quels sont les drogues illégales ?

La drogue la plus connue est le « haschisch ».

Il existe également de la drogue en vente libre.

La plupart des drogues illégales sont fabriquées par des drogués en Russie. Les drogues illégales sont souvent mélangées avec de l'alcool ou de la cocaïne.

Un autre type de drogue illégale est la méthamphétamine.

Ces drogues sont utilisées comme stimulants et sont souvent associées à la drogue illégale de la cocaïne.

Les autres drogues illégales sont le LSD, la cocaïne et l'héroïne. Le LSD est utilisé comme stimulant et est souvent associé à la drogue illégale de la cocaïne. Les autres drogues illégales sont l'héroïne et la cocaïne.

Le haschisch est également connu sous le nom de haschisch. Il est utilisé comme stimulant et est souvent associé à la drogue illégale de la cocaïne.

Cas de drogue illicite

Un homme qui a été arrêté pour avoir vendu des drogues illégales a été condamné à 30 jours de prison.

Un autre homme a été condamné à une amende de 250000 roubles.

Un homme a été condamné à une amende de 100 000 roubles.

Un homme a été condamné à une amende de 150 000 roubles.

Un homme a été condamné à une amende de 200 000 roubles.

Un homme a été condamné à une amende de 300 000 roubles.

Un homme a été condamné à une amende de 50000 roubles.

Un homme a été condamné à une amende de 500 000 roubles.

Un homme a été condamné à une amende de 250 000 roubles.

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